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Sujet: Claire Parker (finie) Jeu 30 Juil - 8:35 |
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CLAIRE PARKER
EVERY STORY MUST BE WRITTEN
Ce jour la je m'ennuyait, ce qui n'est pas vraiment dans mes habitudes. D'habitude, je trouve toujours quelque chose a faire mais il faut croire que les vacances frainent un peut mon élan, ce que, quand on y pense et plutôt idiot. Durant les cours, j'ai jamais assez de temps pour faire tout ce que je veux mais pile au moment ou ca y est, j'ai tout le temps que je veux, et bien je ne sais pas quoi faire. J'ai passé la matinée a descendre l'escalier de la maison, tout en tenant fermement mon portable entre mes mains,attendant qu'il sonne et qu'un ami me contacte mais rien. Ils etaient sans doute tous trop occupés pour me donner un coup de fil.
Aprés avoir déjeuné avec ma famille, mon portable posé a coté de mon assiette (qui sait? Un de mes amis aurait put me joindre durant que je mangé?) mais voila, rien. Mon portable ne bougait pas d'un pouce, pas un petit vibrement, rien.Ce qui commenca a me desperait légèrement. Après le repas je laissa mon portable sur le canapés du salon, il me minait bien trop le moral, et je monta a nouveau l'escalier, pour rejoindre ma chambre. Je traversa le couloir menant a elle, mes pieds nus carressant la douce moquette blanche. Quand j'arriva devant ma porte je l'ouvris a la volée, la faisant claquer contre le mur ce qui entraina un marmonnant de désaprobbation de mon père et un soupirement de ma part. Trop flemmarde pour reffermer la porte, je me posa sur le tabouret de ma coiffeuse et resta la, a rien faire.
Alors que je regardait ma chambre, mon attention se posa enfin sur une des nombreuses photos accrochés a mon miroir, je me leva pour mieux la regarder. C'était une vieille photo de famille, datant d'une bonne dizaine d'année. Je posait dessus avec mes parents et mon grand frêre. Je me souviens trés bien du moment avant de prendre la photo. On s'était rendu chez le photographe de Spring Hill, une matinée de dimanche. A l'époque j'avais cinq ans et mon frêre, aujourd'hui agé de presque dix huit ans, n'en possédait que huit. Je me souviens parfaitement de l'animation qui regnait alors qu'on se préparait pour immortaliser ce moment familial. Mon père arrangait machinalement la cravate de Isaac, moi je courrait dans tout les sens, je vous rappelle que j'avas cinq ans et a cet age, on s'amuse de tout et on est trés curieux. Le cabinet du photographe etait décoré de photos qu'il avait pris lui même. Je trouvait ca distrayant de toutes les regarder une a une. Alors que je n'avais pas encore fini, ma mere me rattrapa, me pris fortement la main, sans que j'ai eu le temps d'émettre une petite protestation, et elle nous dirigat vers mon père et mon frêre qui nous attendaient visiblement, derrière etait installé le photographe, une expression agacé sur le visage, ce qui me donna la furieuse envie de lui tirer la langue, quand on gere une petite entreprise de photo, la moindre des choses c'est d'etre aimables envers ses clients. Mon père semblait lui aussi énervait, et je ne saisissait vraiment pas pourquoi, il était pas préssé, aprés tout on était dimanche, ni lui ni ma mère ne travaillait. Il pointa le cadran de sa montre avec sa main droite, sa main gauche etant posée sur l'ipaule d'Isaac dont le regard etait vide d'expression. Ma mère pressa donc le pas, elle me positionna a coté de mon frére qui me passa un bras dérriere ma tête, tout en s'accroupissant légèrement. Je fis un grand sourire éclatant de bonheur, me forcant legerement pour etre jolie sur la photo, ce qui m'importait plus qu'autres choses. Le flash eut lieu. Je me sentis éblouie mais ce fut une sensation agréable, et je me surpris a renforcer mon sourire. Au bout d'un instant, mon frêre enleva son bras, ma mère me pris la main, a moi, et a Isaac tandis que mon père partait regler l'argent. Puis nous partames du salon du photographe, et même si la photo avait eu lieu, mon visage s'étirait doucement pour faire place au sourire qui s'évaillait dessus. C'est ainsi que s'acheva notre passage chez le photographe.
Je me souviens de ce moment comme si c'était hier, je ne sais pas du tout pourquoi cela m'a marqué. Avant aujourd'hui, je n'avais jamais vraiment reporté mon attention sur cette photo qui était accrochée la depuis des années a présent. Cela me fit bien entendue penser a ma famille. Mes parents tout d'abord, a l'époque je m'entendais plutot bien avec eux, aujourd'hui ca a bien changé, et je ne pense pas que ce soit dans le sens positif. Ma mère, Dahlia, et moi sommes je dirais 'en guerre'. Pourtant petite je la trouvais trés gentille. Je n'avais pas conscience que j'allait finir par la haïr. Oui, je deteste vraiment ma mère. Bien sur, elle est la femme qui m'a donnée la vie donc une partie de moi l'aimera toujours, mais la vie qu'elle m'a offert, en ce moment je suis persuadée qu'elle est en train de me la pourrir tout simplement. Pourquoi je ne l'aime pas? Oh il y a une raison bien précise: elle trompe mon père. Quand quelqu'un trompe votre père, vous ne pouvait que detester cette personne. Parlons dès maintenant de mon père, lui au contraire, je m'entend bien avec lui. Je suis un peut triste lui pour ma mère, il n'est pas infidèle lui. Ce n'est pas lui que j'ai vu un soir en rentrant en traun d'embrasser un parfait inconnue, je fais allusion ici a ce qui m'est arrivée avec ma mère et a comment j'ai découvert son infidélité. Mon père est un homme bon, moi comme Isaac, il essait de nous tenir a l'écard des problemes de lui et ma mère mais nous voyons bien qu'ils se disputent nuit comme jour.
Enfin, le troisième menbre de ma famille, Isaac, mon frêre. Franchement, je ne sais pas ce que je ferais sans lui. Quand on a des parents dans une mauvaise posture, il est agréable d'avoir un frêre plus agé. Isaac est trés attentionné envers moi, petite alors que je faisais des cauchemars, il acceptait toujours de me faire une place dans son lit, et jusqua que je m'endormes, il me parlait de sa voix rassurante tout en carressant mes cheveux. Aujourd'hui il n'a pas changé son attitude a l'égard de moi. Quand j'ai découvert l'infidélité de ma mère j'ai passé beaucoup de temps avec lui, je sentais le besoin d'étre rassuré, j'avais peur que toute la famille se dissoude, grace a Isaac j'ai réussi a survivre a cette dure épreuve et j'y arrive toujours grace a son soutien. Bien sur, il est moins fréquent que je le rejoigne dans son lit au milieu de la nuit, mais notre complicité est réstée aussi forte. Parfois, je trouve même cette etreintre fraternelle un peut forte mais je ne peux pas vouloir a mon frere, ce serait vraiment injustifié etant donné qu'il m'a toujours aidé a passer les difficultés dans ma vie, je ne peux lui en être que reconnaissante. Donc même si parfois il me surprotege un peut trop et qu'on se dispute de temps en temps, je ne m'emporte jamais, car aprés tout ce qu'on a traversé enssemble, je ne pourrais jamais lui en vouloir vraiment.
Il n'y a bien sur pas que famille qui tiens une place importante pour moi. Je leva les yeux de la photo de famille ancienne pour tomber sur une série de photo venant du photomaton du centre commercial ou je pose au coté de ma meilleure amie depuis l'école maternelle Abby. Elle aussi, que ferais je sans elle? Depuis de la maternelle nous sommes comme les deux doigts de la main. En pensant a elle, je serra ma main contre le pendentif en forme de moitié de coeur que je porte autour de mon coup, c'est Abby qui possede l'autres moitié, alors que nous avions six ans, on avaient acheté deux pendentifs emboitables en formes de moitié de coeur, quand nous les collons l'un contre l'autres, le coeur se refforme. Je ne l'enleve jamais, et Abby non plus, ca nous rappelle notre amitiée si précieuse. Je suis dans le même lycée qu'Abby et nous faisons toutes deux partie de l'équipe de chearleaders du lycée. On soutiens les TIGERS, l'équipe de basket ball du lycée dont mon frêre est le capitaine. On adore faire toutes les deux les folles en agitant nos pompoms durant les matchs, a chaque fois que nos numéros se font par deux nous nous mettons enssemble, on danse egalement toujours a coté. J'y tiens beaucoup, je suis sure que ca me destabiliserait si je ne dansait pas dans ces conditions.
Je m'entend plutot bien aussi avec le reste de l'équipe, une seule petite chose m'insupporte chez la plus part des filles: elles craquent presques toutes pour le capitaine de l'équipe de basket ball, soit mon frêre. C'est un peut destabilisant qu'elles roucoulent desuss alors que c'est mon frêre et quand plus nous avons des liens trés sérrés. Ce n'est pas de la jalousie, je n'ai pas peur que mon frere me delaisse pour une petite amie, c'est juste étrange!
A cet instant résonna une mélodie qui me sembla bien familiére 'fuck you' de Lilly Allen, soit la sonnerie de mon portable. Je me detacha de mes pensées et sortir de ma chambre en courrant, je dévala les escaliers a une vitesse folle, percutant ma mère qui portait une pile de linge et qui me recommanda désagréablement de ne pas courrir dans les escaliers. Je ne pris meme pas le temps de m'excuser et courru pour m'affaler sur le canapés, ou etait assis Isaac qui regardait la télévision, ma tête le percuta, je m'excusa et ouvrit mon portable. " Allo? Coucou Abby! Nan nan je faisais rien ... "
BEHIND THE COMPUTER
► Avatar =Demi Lovato ► Prénom =Leslie ► Niveau de rôle play =15/20 ► Exemple de rôle play =
- Spoiler:
Je n'ais jamais été quelqu'un de matinal. Il y a des gens qui se reveillent , debordant d'energie , et avec une envie de sauter sur place , et d'autres qui grogne sous leurs couettes et s'attarde devant leurs tartines ... Je fais decidement parti de la deuxieme catégorie ! Le matin , je deteste cela , car quand je me reveille je pense a ma journée , et immédiatement , je suis décu du programme et commence a grommeler que je prefererais rester au lit. Je ne suis pas quelqu'un de grognon , mais le matin reste une exeption ! Toutes personnes me connaissant sait que le matin il faut pas me parler , me laisser vivre ma vie dans mon coin , generalement au fil de la journée je deviens plus sociable !
J'essaie quand meme de faire des efforts , quand je me leve en compagnie de mes amis de la confrerie , je ' grogne ' dans ma tete , pour ne pas effrayer les autres , je ne veux pas qu'on croit que je suis quelqu'un de ronchon , surtout que quand on me connait bien , je peut etre quelqu'un de trés amical. Aprés , en ce moment je me controle un peut tout d'abord pour Dylan , on sort enssemble depuis trois mois deja , avec elle je vis des instants fabuleux , a chaque fois qu'on sort , je ne desire qu'une chose : que le temps s'arrete pour que je garde Dylan pour moi , pour toujours. Mais voila , je ne peut pas figer le temps pour faire durer les bons moments , vite la realité me rattrape , chassant mes reves d'evasions.
Ce matin , j'avais recu un message sur mon portable , heureusement , c'était vers dix heures , vous vous doutez que je n'aime pas me faire reveiller par la sonnerie de mon telephone black berry ! Dylan me connait bien , elle sait que il vaut mieux attendre au moins deux heures aprés mon reveil pour me contacter , sauf bien sur le bisous matinal , la je ne chipote jamais. Je ne suis pas du genre a refuser les gestes d'affections , au contraire , je serais plutot du genre a en reclamer ! Quand ce matin j'ai vut le nom de Dylan s'afficher sur l'ecran de mon telephone portable , un sourire c'est immediatement épanouie sur mon visage , se mela a ma joie un peut de curiosité.
Pourquoi Dylan m'avait appellée ? Je ne tarda pas a savoir le comment du pourquoi , sans attendre un signal ( pourquoi il y en aurait un me diriez vous ? ) , j'ai afficher le message , Dylan me demandait de la rejoindre vers midi pour manger au café de Hanover. Je n'allais surement pas reffuser une offre pareille , j'avais que deux heures de cours dans la matinée : deux heures de mathématiques. Ce cours passa assez rapidement , j'aime les mathematiques ( pas a la folie , rassurez vous ! je ne suis pas un petit intello ! ) et je comprend facilement , bien que aujourd'hui je pensait plus a Dylan et au moment ou je la verrais dans deux heures.
Aprés les cours , je fila dans mon dortoir , histoire de ne pas arriver débrailler pour le rendez vous , ouf ! Dans l'enssemble ca allait ! Je ne m'attarda pas devant mon miroir , je fis un clin d'oeil a mon reflet ( allez savoir pourquoi , je n'ai pas vraiment envie de m'expliquer ! ) , et fila au café , tout en ne quittant le cadran de ma montre de vue. Quand j'arriva enfin au café , il etait environ midi , j'étais a l'heure. Je n'aime pas beaucoup etre en retard , generalement je fais attention a etre ponctuel , en particulier avec Dylan , je m'étais promis de ne jamais la faire attendre , sauf en cas de force majeur.
J'entra dans le cafe , les battants de la double porte vitrée se refferma dans un claquement derriere moi , tout de suite je ballaya la salle d'un regard afin de reperer Dylan. Elle etait assise a une table libre , je me dirigea vers le comptoir , commanda un milkshake a la vanille ( mon parfum préféré ) et patienta un peut , le temps que ma commande se prépare. Quand , environ cinq minutes aprés , le serveur me tendit ma boisson , je pris dans ma poche un billet de cinq dollars , le deposa sur le comptoir en bois et me dirigea vers Dylan. En me voyant arriver elle me sourit , je fis de meme.
Je contourna la table , la prit par les epaules , et deposa un baiser sur ses levres. Mes levres se detacherent doucement , je lui souria puis je recula et m'installa sur une chaise , en face d'elle. Je porta doucement le milkshake a mes levres et en sirota une gorgée.
" Sa va ma puce ? " demandais je d'une voix interessée , et bien oui , quel petit copain n'est pas vigilant avec la santé de sa copine , moi je trouve cela logique , enfin , je suis parfois un peut bizarre ...
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FICHE FINIE
Dernière édition par Claire Parker le Jeu 30 Juil - 14:49, édité 3 fois
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